Un terrasse peut se rénover, voir se réorganiser. Pour mieux profiter de l’espace extérieur, pour l’embellir ou le remodeler selon ses goûts. Il ne faut pas hésiter à se renseigner. Problématique: La terrasse originelle est étroite, sombre, trop refermée sur elle-même. Le mur de soutènement est trop massif et l’espace vide laissé entre ce mur […]
Un terrasse peut se rénover, voir se réorganiser. Pour mieux profiter de l’espace extérieur, pour l’embellir ou le remodeler selon ses goûts. Il ne faut pas hésiter à se renseigner.
La terrasse originelle est étroite, sombre, trop refermée sur elle-même. Le mur de soutènement est trop massif et l’espace vide laissé entre ce mur et le toit parait étriqué.
Les propriétaires voulaient une terrasse qui soit plus ouverte sur l’extérieur, moins confinée afin de profiter des beaux jours et de l’ensoleillement, la terrasse étant exposé sud-ouest. Ils souhaitaient également pouvoir l’agrandir un peu pour pouvoir s’y installer pour déjeuner confortablement.
Afin d’avoir une structure légère, nous avons décidé de démolir le mur de soutènement de la terrasse ainsi que sa toiture et de mettre en oeuvre une structure en métal. Cela permettait également d’agrandir la terrasse sans créer de fondation ou de mur supplémentaires en devant de la maison.
Pour garantir la solidité de l’extension de la terrasse, il a fallu venir s’ancrer au niveau du vide sanitaire dans les fondations. Ce système permet ainsi de correctement supporter le poids qui sera porté sur le débord de terrasse.
La terrasse ainsi refaite répond aux attentes des propriétaires. Elle a été agrandie en partie permettant de recevoir un table, des chaises: on a ainsi la place de déjeuner à plusieurs.
La structure métal permet une belle ouverture vers le jardin. Les gardes-corps sont fins; ils ne coupent pas la perspective.
Le bois donne un aspect naturel, s’harmonisant avec l’extérieur. La couverture en bois n’alourdit pas l’ensemble mais permet de protéger du soleil et des intempéries.
Pour un projet réussi, il faut communiquer. C'est ici que ça commence !